«Je salue l'engagement personnel» de S.M. le Roi Mohammed VI et «les efforts considérables du gouvernement marocain en matière de développement humain et de lutte contre la pauvreté», a déclaré Mme Clark à la MAP.
«De mon point de vue, il y a une tendance très positive au Maroc, et nous au Pnud, nous œuvrons à mettre ces progrès en valeur», a-t-elle affirmé, à l'issue d'une séance de travail avec une délégation conduite par le Haut commissaire au Plan, Ahmed Lahlimi Alami.
Mme Clark a, d'autre part, précisé que l'indice utilisé pour élaborer le rapport sur le développement humain «ne permet pas de mesurer de manière globale, complète et qualitative» le développement humain.
«Ce n'est pas un instrument qualitatif du développement humain, d'autant plus qu'il n'est pas nécessairement à jour, vu que les statistiques utilisées pour le Maroc datent de deux ans», a-t-elle fait observer, indiquant à cet égard que «le Pnud est ouvert aux points de vues de tous les Etats» à ce sujet.
Pour Mme Clark, «il y a des pistes marocaines positives que le Pnud et le Maroc pourraient explorer ensemble».
Il est «important pour nous d'organiser des débats pour faire le point sur l'indice du développement humain, qui reste un indicateur essentiel pour beaucoup de personnes bien qu'il ne reflète pas, comme je le pense, la réalité dans sa globalité».
Mme Clark a, par ailleurs, annoncé que le Pnud et le Haut commissariat au plan «vont travailler étroitement pour l'élaboration d'un rapport national de développement humain au Maroc», ajoutant que l'agence onusienne a accepté l'invitation du Royaume de participer à une conférence consacrée à ce sujet avec la participation d'experts des différents pays de la région.
Ont également pris part à cette réunion, qui a porté sur les différents volets du partenariat Maroc-Pnud, Youssef Amrani, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Onu, Mohamed Loulichki et l'ambassadeur directeur général des relations multilatérales et de la coopération globale, Nasser Bourita.
MAP
«De mon point de vue, il y a une tendance très positive au Maroc, et nous au Pnud, nous œuvrons à mettre ces progrès en valeur», a-t-elle affirmé, à l'issue d'une séance de travail avec une délégation conduite par le Haut commissaire au Plan, Ahmed Lahlimi Alami.
Mme Clark a, d'autre part, précisé que l'indice utilisé pour élaborer le rapport sur le développement humain «ne permet pas de mesurer de manière globale, complète et qualitative» le développement humain.
«Ce n'est pas un instrument qualitatif du développement humain, d'autant plus qu'il n'est pas nécessairement à jour, vu que les statistiques utilisées pour le Maroc datent de deux ans», a-t-elle fait observer, indiquant à cet égard que «le Pnud est ouvert aux points de vues de tous les Etats» à ce sujet.
Pour Mme Clark, «il y a des pistes marocaines positives que le Pnud et le Maroc pourraient explorer ensemble».
Il est «important pour nous d'organiser des débats pour faire le point sur l'indice du développement humain, qui reste un indicateur essentiel pour beaucoup de personnes bien qu'il ne reflète pas, comme je le pense, la réalité dans sa globalité».
Mme Clark a, par ailleurs, annoncé que le Pnud et le Haut commissariat au plan «vont travailler étroitement pour l'élaboration d'un rapport national de développement humain au Maroc», ajoutant que l'agence onusienne a accepté l'invitation du Royaume de participer à une conférence consacrée à ce sujet avec la participation d'experts des différents pays de la région.
Ont également pris part à cette réunion, qui a porté sur les différents volets du partenariat Maroc-Pnud, Youssef Amrani, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Onu, Mohamed Loulichki et l'ambassadeur directeur général des relations multilatérales et de la coopération globale, Nasser Bourita.
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